De: vendredi 5 octobre 2018
À Québec, ce 4 octobre 2018, s’est déroulée l’inauguration du nouveau complexe Eddyfi Technologies, aboutissement d’un projet totalisant un investissement de 14 M$ et abritant, en plus du siège social de l’entreprise, un centre de recherche et développement, un centre de formation et une unité de production. Situé dans l’Espace d’innovation Michelet, le nouveau bâtiment contribue à soutenir et renforcer l’image de marque de l’entreprise à l’échelle internationale. D’une superficie de 5000 m2, l’édifice certifié LEED se veut un environnement de travail stimulant, plaçant l’employé au cœur d’un milieu de vie professionnel dynamique, vivant et bien balancé. « Notre entreprise a connu une énorme croissance depuis ses débuts à la fin 2009. Nos gens et leur savoir nous ont permis de repousser les limites de la technologie, de nous positionner comme un joueur d’importance dans notre industrie et d’ouvrir grandes les portes de différents marchés. Et tout ça, à partir de Québec. Avec ce nouveau projet immobilier, nous avons voulu un design qui s’aligne avec notre positionnement haut de gamme tout en maximisant l’attrait de la main d’œuvre à Québec », mentionne Martin Thériault, président et chef de la direction d’Eddyfi Technologies. Le nouvel édifice fait également belle part à la qualité de vie de ses occupants, notamment avec la présence d’une salle d’entraînement, d’un terrain de volleyball de plage, d’espaces de travail collaboratif et de zones de socialisation, de détente, et de jeu, en plus de stations de travail individuelles actives pour chacun des employés. « L’enjeu du recrutement de la main d’œuvre est plus que réel. Il y a littéralement une guerre pour le talent. Lorsqu’est venu le temps de mettre sur papier le projet de déménagement de notre entreprise, nous nous sommes assurés de placer le bien-être de nos employés au centre de nos décisions, tant au niveau du design que de l’aménagement. Nous avions à cœur d’offrir à nos employés un environnement de travail qui se démarque des autres, qui les rendrait heureux et qui les stimulerait dans leurs vies professionnelles. Je pense qu’on y est arrivé », indique Martin Thériault.